Gaïd Salah est-il avec ou contre le peuple algérien ?


Ma réaction aux graves fausses idées bien ancrées dans les têtes de centaines de milliers de jeunes à cause d’un matraquage au travers de tous les moyens de propagandes :
1. Je dis aux jeunes qui ont été bercés par les discours haineux de certains opposants consistant à dire que le français est la langue du colonisateur et qu’il ne faut ni l’enseigner ni l’apprendre, je leur dirai que ces opposants appliquent clairement l’adage : « Faites ce que je dis mais ne faites pas ce que je fais », car tous ont appris et parlent couramment le français. Si l’on veut que la France cesse de s’immiscer dans les affaires intérieures de l’Algérie, ce n’est pas par la haine, l’ignorance et les prières mais bien par l’amitié, la science et la technologie. Qu’on sache enfin qu’être francophone n’est pas synonyme d’être francophile mais c’est être chanceux de connaître une langue étrangère pour communiquer. Chacun, selon ses propres intérêts, est libre d’apprendre les langues de son choix.
2. Quand via Facebook, je harcelais le Chef des armées, Ahmed Gaid Salah à coup de lettres ouvertes, pour lui demander de se ranger aux côtés du peuple pour l’accompagner dans son combat afin de se débarrasser des têtes de la mafia, la même clique d’opposants qui vomissait les généraux, lâchait sur moi (et sur ceux , comme moi, ne concevaient pas le départ des Bouteflika qu’à travers un soulèvement populaire sous la protection de l’armée), lâchait sur moi, leurs adeptes par centaines, à coups de vidéos sur les réseaux sociaux, débats télévisés, depuis Londres, Alger, Genève et Paris, pour déposer sur ma page les commentaires les plus abjectes, m’accusant de « militarophile ». 

Aujourd’hui ces mêmes opposants, ces mêmes mentors, depuis Londres, Alger, Genève et Paris, instruisent leurs mêmes adeptes de soutenir Ahmed Gaid Salah et les généraux. Récupération, ironie ou stratagème ? Le temps nous le dira.
Je regrette , tout comme tous les vrais démocrates, de ne pas détenir les moyens financiers comme les opposants de Londres, Paris, Genève et Paris, pour créer des télévision, radio, presse électronique et téléweb, pour initier les jeunes aux vraies valeurs de la démocratie.

Layla Haddad.

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