Pourquoi l’Algérie ne se révolte pas ? J’ai la réponse !


Après toutes les turpitudes auxquelles l’Algérie a été confrontée pour l’accession au pouvoir entre 1962 et 1965, les autorités algériennes ont mis en place une vaste opération sanitaire à l’échelle nationale pour qu’une stabilité durable puisse être instaurée sur tout le territoire. Cette opération sanitaire avait donc pour but de juguler toute forme de protestation et désir de révolte ou pire de démocratie, émanant de la population qui elle, était encore avide de liberté après avoir passé 130 ans en totale soumission.

La tâche n’était donc pas si facile. Comment contenir un peuple qui s’était livré à une guerre de 7 ans et qui a vu des milliers d’entre eux tomber sur le champ de bataille ? 

Bien-sûr, on pense à la répression comme méthode la plus efficace, ou encore la privation et l’élimination de toute forme de contestation et de pouvoir d’opposition… Oui cela fait aussi partie du plan, mais afin de désinhiber tout un peuple, qui sur un seul sursaut de conscience peut vous faire vaciller n’importe quel régime, il fallait penser a autre méthode de plus efficace. Car je peux vous dire qu’aucune dictature ou privation ne peut faire le poids contre une révolte massive et virulente d’une nation qui a soif de liberté.

Rien sauf une chose ! Afin qu’un peuple puisse se rebeller contre ses maitres, comme on peut le voir en Iran , en Thaïlande ou encore en Moldavie… Pour que ces gens puissent avoir le courage de sortir dans la rue et réclamer leurs droits, une partie du corps humain a été disposée à cet effet .

Cet organe, car c’en est un, est visible à l’œil nu et diagnostiqué sur le corps humain de sexe masculin. C’est depuis cet organe que l’homme puise la force de ces convictions et arrive à être transcendé par le désir d’autodétermination.

Vous l’aurez deviné l’organe en question n’est autre que les testicules, familièrement appelées « cojónesse » ! On note cependant que les femmes elles, n’ont point besoin de cet organe pour se soulever, mais étant écrasées par un pouvoir masculin, il y a peu de chances qu’une révolution puisse être menée uniquement par des femmes dans un pays comme l’Algérie.

Pour en revenir à notre plan de santé, ils consistait donc à pratiquer une ablation pure et simple des testicules sur tous les Algériens. Une fois le jeune homme castré, il devient dès lors dans l’incapacité de se dresser contre une quelconque autorité.

Bien sur la castration ne marche pas à tous les coups, on peut trouver chez certains individus la capacité de se régénérer et donc, voir la repousse de l’organe immédiatement après son ablation.

Pour cela, une autre méthode d’ablation est pratiquée, celle de la vie ! Une élimination de l’individu écarte tout risque d’une propagation de ce gène à travers sa progéniture par exemple. 

On se souvient notamment de la circoncision massive qui a eu lieu en octobre 1988 ou durant les printemps berbères et autres révoltes de jeunes qui se sont sentis pousser des testicules, sortis dans la rue pour crier leur raz le bol. 

Lors de cette campagne d’émasculation, certaines contrées du pays ont montré un refus catégorique et une farouche opposition contre les pouvoirs publics. Du coup l’isolation et la marginalisation de ces individus était une bonne solution pour les empêcher là aussi de contaminer le reste de la population, je pense notamment à la région de la Kabylie, mais il en existe d’autres fort heureusement. 

Voila donc ce qui nous manque, à moi, vous, eux… tout le monde ! Il nous manque des "burnes" pour être plus vulgaires ! Car sans cela, l’Algérie ne pourra jamais rêver d’un autre avenir que celui décidé par les mêmes individus qui étaient déjà là en 1965.

Même si le projet sanitaire a jusqu'à aujourd’hui bien fonctionné et a pu transformer le peuple en un troupeau de moutons, il n’en demeure pas moins que ces moutons disposent encore d’une belle paire de rognons… Donc l’espoir est toujours là ! 

Par Le roi en paix

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